Moncef Marzouki, fidèle serviteur tunisien de la République française

Moncef Marzouki, fidèle serviteur tunisien de la République française

Moncef Marzouki, fidèle serviteur tunisien de la République française

Celui que l’on surnomme en Tunisie « Tertour » (peureux, lâche) a encore frappé ! Le premier président tunisien de la période post-Benali s’est encore distingué par ses déclarations ouvertement hostiles à l’État algérien et à sa politique extérieure. Dans une récente sortie médiatique sur la chaîne saoudienne Al Khalij, Marzouki affirme en effet que l’État algérien a combattu la Révolution tunisienne au même titre que les Émirats arabes unis. Il est vrai que les autorités algériennes se sont tenues aux côtés de tous les dictateurs qui ont fait face aux prétendus « Printemps » arabes (Benali, Kaddafi, Al-Assad…), mais qu’un ancien président de la république attribue à l’État algérien un rôle hostile au peuple tunisien avec autant de légèreté laisse perplexe et pose de nombreuses questions sur les motivations du Tertour.

En réalité, Marzouki n’est pas à sa première sortie médiatique anti-algérienne et cela fait même partie de ses prérogatives en tant qu’agent influent de la politique française au Maghreb. Il est en effet de notoriété diplomatique que l’ancien président tunisien travaille activement à défendre les intérêts de Paris dans de nombreux dossiers où les intérêts algériens sont également en jeu. Grâce à nos recherches, il nous est possible d’affirmer que Moncef Marzouki fait partie d’un important plan d’encerclement de l’Algérie, puissance régionale sur le seuil de l’émergence et dont on veut limiter l’influence. Le chaos en Libye, la politique belliqueuse du Maroc, l’instabilité chronique au Niger et au Mali, tous ces éléments ont longtemps été alimentés afin d’empêcher la diplomatie algérienne d’agir sur son voisinage. Marzouki est l’élément tunisien censé perturber l’excellente relation entre l’Algérie et la Tunisie, une relation sur laquelle comptent les deux pays afin de faire face aux nombreux défis qui se profilent déjà.

(Crédits photo: kapitalis.com)

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